1ère étape de notre séjour en France: Le voyage en avion!
Que d'excitation mais aussi d'appréhension pour notre venue en France, avec le point délicat du long voyage en avion avec 3 enfants! Ici, les filles juste avant de monter dans notre premier avion, Raleigh -> Washington DC, l'avion a passé plus de temps au sol que dans les airs pour ce trajet.
Arrivés à DC, le transfert du terminal "domestic" au terminal "international" se fait à bord d'un étrange véhicule. Une sorte de bus à 5 mètres du sol. Qui c'est qu'est content?
Puis, transition en métro flambant neuf, superbe architecture futuriste, on se croirait dans 15 ans.
Le classique Nut cracker a occupé les filles le temps de quelques minutes.
Puis, de l'attente... Trois heures et demie pour être exacte. Un peu beaucoup pour les louloutes, heureusement l'iPad était là. Éléonore, elle, a dormi avec papa dans le porte-bébé. Nous avions de l'espoir pour qu'elle continue sa nuit une fois dans l'avion.
Et ben non! :-( La pépette a été révéillée par le brouhara et les lumières à l'intérieur de l'avion. Il y avait beaucoup de bébés et nos voisins de cabine semblaient regarder Éléonore avec des gros yeux plein d'appréhension. Un vol avec un bébé qui pleure n'est jamais idéal. Cela dit tout s'est bien passé et en voici la peuve, voici une série AVANT/APRES.
AVANT
APRÈS
Pas de problème majeur donc pour la traversée de l'Atlantique, si ce n'est que la grande soeur Abi a été malade à l'atterissage en Europe. Aucune difficulté pour passer les douanes pour notre escale européenne à Munich. Le douanier était juste un peu étonné que nous ayons 4 passeports rouges et un bleu (4 français et 1 américain). Encore un peu d'attente, une heure et demie cette fois. Ici ce sont les écrans magiques old-school et les stickers qui ont permis de faire passer le temps. Tout le monde en a profité!
Arrivés à Marseille, nous étions bien contents de retrouver "papi et mamie". Les sentiments étaient mitigés. Nous ne savions pas si nous serions submergés par les émotions pour ce retour tant attendu, ou si notre vision de la France aurait changée. À vrai dire, rien de cela. Nous sommes revenus comme si de rien était, pas vraiment de sensation étrange, si ce n'est la peur pour LJ de devoir conduire une voiture de location à boîte manuelle... :-)